Un mot de passe craqué, c’est tout votre Système d’Information qui s’effondre.

INTRODUCTION

Chaque jour, des millions de tentatives de connexion par « force brute » sont lancées à travers le monde. Ces attaques automatisées essayent inlassablement des milliers de combinaisons de mots de passe, jusqu’à trouver la faille. Un portail VPN1, un site web d’administration, un simple serveur SSH mal protégé … Il suffit d’un mot de passe trop faible pour que l’attaque réussisse.

Et dans 61 % des cas, les entreprises touchées déclarent ensuite des impacts directs sur leur activité : retards, perte de chiffre d’affaires, atteinte à leur réputation.

Objectif

Évaluation externe de la vulnérabilité d’un système aux attaques par « force brute ».

Sécurisez votre activité, protégez vos partenaires et valorisez votre image : nous démontrons la solidité de vos accès face aux attaques automatisées et anticipons les failles de votre système avant qu’un cybercriminel ne les exploite.

Mais qu’est-ce que c’est la « force brute » ? 

Une attaque par « force brute » consiste à tester systématiquement toutes les combinaisons possibles (par ex. de mots de passe) afin de se connecter à des services dans le but de voler ou exploiter vos données.

Les chiffres

2,8 M

 millions d’adresses IP en 2025, qui sont utilisées pour tenter de compromettre de nouveaux équipements. Les adresses IP impliquées dans ces attaques proviennent de nombreux pays.

Source : The Shadowserver Foundation

385 K

des cyberattaques réussies en France en 2022 (plus de 1 050 par jour), environ 131 000 étaient liées à des tentatives par force brute

Source : Data-gouv.fr

34 %

des entreprises françaises déclarent en avoir été victimes d’attaques de ce type en 2023.

Source : Data-gouv.fr

131 K

c’est le nombre d’attaques liées à des tentatives par force
brute en 2022

Source : : The Shadowserver Foundation

Comment fonctionne Brute Force Security ?

Le module « Brute Force Security » évalue la robustesse des systèmes d’authentification en testant automatiquement différentes combinaisons de mots de passe et d’identifiants.

2 techniques possibles :

La « force brute » classique qui teste plein de mots de passe sur un seul compte.

Le « Password spraying » qui teste un mot de passe sur plusieurs comptes.

Sur quoi s’appuie Brute Force Security ?

Les dictionnaires, bases de données ou wordlists qui sont utilisés pour tester automatiquement de très nombreuses combinaisons d’identifiants ou de mots de passe.

Une puissance de calcul élevée, idéale pour accélérer le traitement des HASHS locaux.

Une large capacité réseau permettant de tester efficacement les services actifs tels que SSH, RDP, FTP, SMB ou encore HTTP Auth.

Pourquoi effectuer une simulation avec Brute Force Security ?

1

Évaluer la solidité réelle de vos mécanismes d’authentification et de vos services exposés (SSH, Telnet, RDP, portails web, Extranet, etc.).

2

S’assurer de l’existence et du bon fonctionnement des contre-mesures.

3

Valider les contrôles de défense mis en place et détecter les failles types (CAPTCHA, MFA2, SIEM/SOC, Lockout, etc.).

4

Évaluer la capacité de détection et de réaction (SOC & MSSP) :

  • Voir si le SOC reçoit l’alerte,
  • S’assurer qu’un ticket d’incident est ouvert automatiquement.
5

Sensibiliser et former les équipes en interne sur l’utilisation des mots de passe faibles.

6

Répondre aux exigences de conformité ISO 27001, NIS2, ANSSI3 :

  • Une validation technique des protections contre les attaques par « force brute ».
  • Des tests périodiques pour vérifier l’efficacité des contrôles.

Sur quelle fréquence évaluer votre système avec Brute Force Security ?

Afin de garantir un niveau de sécurité optimal et conforme aux exigences actuelles, un audit externe de sécurité annuel constitue à minima une bonne pratique à adopter.

Selon le niveau de sensibilité des activités de l’organisation et les exigences réglementaires spécifiques (finance, santé, assurance, etc.), cet audit externe peut être complété par des tests de sécurité plus fréquents, réalisés de manière continue. Ils permettent de maintenir une posture de sécurité active et réactive face à l’évolution constante des menaces.

Ces actions peuvent être menées sur un large périmètre exposé publiquement (infrastructure, applications, extranet) ou ciblées sur des comptes ou systèmes sensibles, selon les priorités de l’organisation.

1AD (Réseau privé virtuel) : Outil qui chiffre votre connexion Internet et vous permet de naviguer en toute sécurité, comme si vous étiez connecté au réseau de votre entreprise, où que vous soyez.
2MFA : Méthode d’authentification qui demande à l’utilisateur plusieurs preuves d’identité, comme un mot de passe et un code reçu sur son téléphone, pour renforcer la sécurité des accès.
3ANSSI : Autorité française chargée de protéger les systèmes d’information sensibles, de prévenir les cyberattaques et de guider les entreprises et institutions dans la mise en œuvre de bonnes pratiques de cybersécurité.